Aignay-le-Duc

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Aignay-le-Duc
Aignay-le-Duc
La mairie.
Blason de Aignay-le-Duc
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité CC du Pays Châtillonnais
Maire
Mandat
Gilbert Changarnier
2023-2026
Code postal 21510
Code commune 21004
Démographie
Gentilé Aignacois
Population
municipale
265 hab. (2021 en diminution de 8,93 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 59″ nord, 4° 44′ 08″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 443 m
Superficie 24,86 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Châtillon-sur-Seine
Législatives 4e circonscription de la Côte-d'Or
Localisation
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Aignay-le-Duc
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Aignay-le-Duc
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Aignay-le-Duc

Aignay-le-Duc est une commune française du département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Vue générale depuis la route d'Is-sur-Tille.

Aignay-le-Duc est une commune rurale du Châtillonnais.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Beaunotte, Étalante, Quemigny-sur-Seine, Duesme, Mauvilly, Moitron et Montmoyen.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire d'Aignay-le-Duc occupe 24,86 km2 à une altitude située entre 310 et 443 m[1].

C'est un plateau coupé sud-est/nord-ouest par trois rivières, la Coquille sur laquelle est installé le bourg[2], le Brévon à l'est et le Revinson à l'ouest, ces deux dernières servant de limites au territoire de la commune. Des pâturages occupent le fond des vallées alors que le plateau est tourné surtout vers l'agriculture et un quart environ de la surface est couverte par des bois.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Les trois rivières qui traversent la commune font partie du bassin versant de la Seine.

La Coquille court sur une dizaine de kilomètres avant de rejoindre le Revinson et peu après la Seine, mais cette courte vie ne lui perd pas d'importance, sa source sur la commune voisine d'Étalante est une exsurgence abondante. Un petit lac de barrage a été aménagé sur son cours avant le village au lieu-dit la Forge. Un autre barrage existe sur le Brévon (étang Fourchu), à la limite des communes de Mauvilly et de Montmoyen.

Plusieurs sources sur le territoire alimentent ces trois rivières (source de la Galopine, Froide Fontaine d'Aignay, fontaine du Cadet Brot… toutes n'ont pas un nom).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 965 mm, avec 13,8 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers à 14 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aignay-le-Duc est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,1 %), forêts (35,2 %), prairies (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), zones urbanisées (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Le village d'Aigny-le-Duc comprend le quartier de la Beurlogère.
  • habitat ou bâti écarté : Brevon, la Galopine, ferme du Grand-Bois, la Cassotte, le Pré-du-Soult, Chevigny, la Forge.
  • lieux-dits d'intérêt local : moulin de la Maladière, pont du Revinson.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 247, alors qu'il était de 244 en 2015 et de 246 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 58,8 % étaient des résidences principales, 17,8 % des résidences secondaires et 23,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Aignay-le-Duc en 2020 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (17,8 %) supérieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Aignay-le-Duc en 2020.
Typologie Aignay-le-Duc[I 2] Côte-d'Or[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 58,8 85,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 17,8 5,6 9,7
Logements vacants (en %) 23,4 8,5 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Aignay est traversée par la départementale 901, qui relie la route départementale 971 à Is-sur-Tille à partir de Saint-Marc-sur-Seine.

Les gares les plus proches sont celles de Thenissey (20,72 kilomètres) et Verrey-sous-Salmaise (25,66 kilomètres).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Aiennacum entre 1136 et 1142[15], Ennay en 1145[16], Agnaium en 1150, Aenniay et Aisnay entre 1157 et 1173.

Aignay-le-Duc appartenait au territoire des Lingons, population celtique. Son nom pourrait venir du celtique : *Ann-iacum « le lieu de l'eau, de la source », ann- est une racine bien connue dans les noms de rivière (l'Ain, Inn (Autriche), Anio (Italie)), le village est proche de la source de la Coquille[17]. Autre explication voir Agnac.

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom d'Aignay-Côte-d'Or abrégé en Aignay[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le menhir de Pierre-Fiche atteste d'une occupation remontant à l'époque mégalithique[2].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Plusieurs tumulus montrent que cette occupation perdure à l'époque celtique et d'autres vestiges qu'elle se poursuit sous l'occupation romaine :

  • une pierre calcaire jaune réemployée dans le cimetière datant de la fin du IIe siècle apr. J.-C. ou du début du IIIe siècle portant l'inscription : Aug(ustis) sac(rum) deo Marti Cicolluis et Litavi P. Attius Paterc[l]u[s] [v(otum) s(olvit) l(ibens) m(erito)], ‘Aux augustes divinités sacrées, au dieu Mars Cicolluis et à Litavi, P. Attius Paterculus a payé son vœu volontiers et à juste titre'[19],[20].
  • une inscription trouvée sur un vase de bronze découvert non loin d'Aignay en 1896, à Chassenay : Aug(usto) sacr(um) deo Albio et Damonae Sext(us) Mart(ius) Cociliani f(ilius) ex jussu ejus [v(otum)] s(olvit) l(ibens) m(erito) 'Il est sacré à Auguste, au dieu Albius et à Damona, Sextus Martius, fils de Cocilianus, afin d'accomplir son vœu[21].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Une nécropole mérovingienne avec des sarcophages de pierre a été découverte à l'emplacement du cimetière contemporain.

Aignay est ensuite le siège d'une châtellenie des ducs de Bourgogne dépendant du bailliage de la Montagne. Si le château a été totalement détruit par ordre de Louis XI, il subsiste des vestiges de l'enceinte médiévale et la magnifique église du XIIIe siècle[22].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le chemin de fer Dijon - Châtillon-sur-Seine : la gare.

Jusqu'au XIXe siècle, le tissage de la toile est la principale industrie de la commune qui reste cependant très enclavée jusqu'à la mise en service d'une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique des Chemins de fer départementaux de la Côte-d'Or reliant Dijon-Porte-Neuve à Châtillon-sur-Seine[23], ouverte le 3 juin 1914 et définitivement fermée le 20 octobre 1947[24],[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Montbard du département de la Côte-d'Or.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton d'Aignay-le-Duc[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Châtillon-sur-Seine

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Côte-d'Or.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Aignay-le-Duc est membre de la très vaste communauté de communes du Pays Châtillonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Alexandre Misset[27]    
1880[28]   Pierre-Paul Mignard    
         
vers 1970   P. Magerand    
         
1977 1989 Georges Mayeux[29]   Vétérinaire
1989 2008 Bernard Bonnuit[30] DVD Président du SIVOS (1993 → 2008)
2008 2009 Alexandre Misset    
décembre 2009[31] 2014[32] Christian Bay    
2014[33] juin 2023 Frédéric Bourdenet[34]   Employé
Démissionnaire
juin 2023[35] En cours
(au 28 janvier 2024[36])
Gilbert Changarnier   Agriculteur et chef d’entreprise à la retraite

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Un marché forain a lieu le vendredi matin[37].

La commune dispose d'une salle des fêtes, la salle Charles-Roidot[Note 2],[38].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école, dénommée école Gisèle-Halimi en 2023[39] et qui est administrée par un SIVOS car elle scolarise des enfants des communes avoisinantes.

Santé[modifier | modifier le code]

Une maison médicale[40] et une pharmacie[41] sont implantées à Aignay-le-Duc.

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

Aignay-le-Duc et ses environs sont protégés par une communauté de brigades de la gendarmerie nationale[42].

Un centre d'incendie et de secours des pompiers assure également la défense des personnes et des biens[43]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

En 2021, la commune comptait 265 habitants[Note 3], en diminution de 8,93 % par rapport à 2015 (Côte-d'Or : +0,44 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
766690820898881888947880930
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
892885843804779802820835811
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
765775770681673658614629576
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
572630534528455402393381335
2014 2019 2021 - - - - - -
294269265------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • Le Football-Club Aignay/Baigneux compte en 2023 106 licenciés[47], y compris une équipe féminine crée en 2022[48].

Cultes[modifier | modifier le code]

Les fidèles catholiques relèvent de la paroisse d’Aignay - Baigneux, organisée au sein du doyenné du Val de Seine[49]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Maisons anciennes à encorbellement ;
  • Chapelle de l'ancien ermitage Saint-Michel au centre du cimetière d'Aignay-le-Duc.
  • Menhir de Pierre-Fiche sur le chemin d'Aignay-le-Duc à la Cassotte Logo monument historique Classé MH (1974) [53].
  • Tumulus celtique comprenant plusieurs sépultures d’époques différentes, dont les plus récentes datent du Ve siècle av. J.-C.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aignay-le-Duc Blason
« De gueules à six billettes d'argent. »
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Paris, A la rencontre du Châtillonnais : Montigny-sur-Aube, Recey-sur-Ource, Châtillon-sur-Seine, La Bourgogne, Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Charles Roidot a participé à la prise de la Bastille. Napoléon le fait baron de Saint-Michel et construit le « château Roidot » dans la commune. Il meurt en mission à Dresde en 1813, lors d'une des campagnes napoléonniennes.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b René Paris 1987, p. 29.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Aignay-le-Duc et Bure-les-Templiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bure Les Templiers_sapc », sur la commune de Bure-les-Templiers - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Dans le cartulaire de Fontenay.
  16. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 753 - (ISBN 2600001336).
  17. Gérard Taverdet, Noms de lieux de Bourgognes, 2007, p. 112.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Aignay-le-Duc », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  19. BECK N. thesis. Goddesses in Celtic Religion Cult and Mythology: A Comparative Study of Ancient Ireland, Britain and Gaul, 2009, 110.
  20. cité dans la thèse : Drioux, 1934, p. 74, no 267 ; Le Bohec, 2003, p. 176, no 295.
  21. CIL XIII, 2887, CIL XIII, 11233.
  22. René Paris 1987, p. 30.
  23. René Paris 1987, p. 31.
  24. Yves Artur, Le tacot de Dijon à Châtillon-sur-Seine, revue « Pays de Bourgogne » n° 235, janvier 2013, pp. 64-65.
  25. « Souvenir du Tacot de la Haute-Seine » [PDF], Randonnées ferroviaires (consulté le ).
  26. « Les maires de Aignay-le-Duc », FranceGenWeb (consulté le ).
  27. Gilles Laferté, « Du notable à la petite bourgeoisie : Sociologie des élus ruraux du Châtillonnais (XIXe et XXe siècles) », Études rurales, no 204,‎ , p. 42-64 (notamment §11) (DOI https://doi.org/10.4000/etudesrurales.16697, lire en ligne, consulté le ), sur OpenEdition.
  28. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
  29. Nicolas Boffo, « Georges Mayeux, ancien maire de 1977 à 1989, nous a quittés », Le Bien public,‎ 13/2/2022 mis à jour le 5/3/2022 (lire en ligne, consulté le ) « Il a été conseiller municipal du village de 1959 à 1990 et maire de 1977 à 1989 ».
  30. « Aignay-le-Duc : Bernard Bonnuit, ancien maire est décédé », Le Bien public,‎ 10/5/2017 mis à jour le 26/6/2020 (lire en ligne, consulté le ) « En 1983, Bernard Bonnuit a été élu deuxième adjoint au conseil municipal, puis maire en 1989 et ce jusqu’en 2008 ».
  31. « Christian Bay maire d'Aignay »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lechatillonnaisetlauxois.fr, (consulté le ).
  32. David régazzoni, « Aignay-le-Duc : C. Bay, maire battu au premier tour, un peu moins seul », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  33. « Aignay-le-Duc : Frédéric Bourdenet élu maire », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Aignay-le-Duc : le conseil municipal est installé », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Nicolas Boffo, « Gilbert Changarnier est le nouveau maire de la commune : Mardi soir, Gilbert Changarnier a été élu nouveau maire d’Aignay-le-Duc. L’ancien premier adjoint succède à Frédéric Bourdenet, qui a démissionné il y a deux semaines pour raisons personnelles », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  36. Michèle Pielin, « La mairie veut rénover la salle Roidot et maintenir l’activité du restaurant : Gilbert Changarnier, maire d’Aignay-le-Duc, a présenté ses vœux aux habitants du village samedi 27 janvier. C’était là l’occasion de faire le point sur les projets que le conseil municipal entend mener à bien en 2024 », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  37. « Le marché hebdomadaire connaît un beau renouveau », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  38. Michèle Pielin, « Rénovation de la salle Roidot : un an de travaux : La salle des fêtes d’Aignay-le-Duc va être entièrement rénovée. Le chantier, prévu pour durer un an, démarrera à la fin de l’année », Le Bien public,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Michèle Pielin, « L’école porte désormais le nom de Gisèle Halimi : Vendredi 13 octobre, à l’école d’Aignay-le-Duc, une plaque a été inaugurée en l’honneur de Gisèle Halimi. Désormais, l’école portera le nom de cette avocate et militante féministe », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  40. « Une orthophoniste intègre la maison médicale », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  41. Michèle Pielin, « La pharmacie de nouveau ouverte : Ils ont longtemps craint que leur pharmacie ferme ses portes pour de bon. Mais, samedi 7 octobre, élus et habitants d’Aignay-le-Duc et des environs ont assisté à la cérémonie organisée pour la réouverture de l’établissement. Ambiance », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  42. Michèle Pielin, « Cinq nouveaux gendarmes à la communauté de brigades : La communauté de brigades (COB) d’Aignay-le-Duc a accueilli en 2023 cinq nouveaux gendarmes. Rencontre », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  43. « L’hypothèse d’une nouvelle caserne pour les pompiers : Le projet de construction d’un nouveau centre d’incendie et de secours refait surface à Aignay-le-Duc, après avoir été évoqué il y a plusieurs années. Mais rien n’est encore acté », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Michèle Pielin, « Après une saison mitigée, le Football-Club Aignay/Baigneux veut se relancer : Le Football-Club Aignay/Baigneux (FCAB), qui compte 106 licenciés, a tenu son assemblée générale. Joueurs, dirigeants et élus locaux se sont retrouvés nombreux pour dresser le bilan de la saison autour d’Henri Chevallier, président du club », Le Bien public,‎ 26/6/2023 mis à jour le 27/6/2023 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  48. « À peine créée, l’équipe féminine de football cartonne », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  49. Michèle Piélin, « ‘’Père Michel’’ est le nouveau prêtre de la paroisse d’Aignay - Baigneux », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  50. Michèle Pielin, « Les travaux de restauration du retable sont terminés : La restauration du retable de l’église Saint-Pierre et Saint-Paul d’Aignay-le-Duc est terminée. À cette occasion, Emmanuel Desroches restaurateur d’art lyonnais et Franziska Sawatsky restauratrice polychrome ont présenté l’historique des travaux de l’œuvre », Le Bien public,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  51. « Eglise Saint-Pierre-Saint-Paul », notice no PA00112051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Aignay-le-Duc », Départements et pays > Côte-d'Or > Pays Châtillonnais, Bourgogne médiévale (consulté le ).
  53. « menhir de Pierre-Fiche », notice no IA00054280, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.